Depuis l'immense espace interstellaire

Publié le par inpartibus

Depuis l’immense espace interstellaire
Aux plus infimes interstices
Des calmes sphères énor mes qui gravitent
Jusqu’à l’atome surréel

 

De l’écorce des pla ques tectoniques
Au molécules de ton sang
Du fond des plages aux vagues sur la anse
Et aux félins qui te taquinent

 

A nos corps qui s’éloi gnent dans le lit
Aux yeux rieurs encore hier
Ce soir qui pleu rent des choses futiles…

 

…De tout cela au moindre rien
Toi, moi : on se repousse et puis on s’aime
Ce qui nous lie ne meurt jamais.

Publié dans Perrin Langda

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